C’est un mot qui ne fait pas rêver.

Et pourtant, la catégorisation est peut-être le point culminant de votre gestion.

Sans elle, pas de vision claire. Pas de pilotage fin. Pas de décisions bien informées.

Trop souvent mise en place tardivement (voire jamais), parfois excessivement détaillée dès un stade de croissance nécessitant plutôt une arborescence simple et évolutive s’alignant sur le besoin et les ressources de la division financière, la catégorisation est pourtant ce qui transforme une gestion brouillonne en machine bien huilée.

La catégorisation : votre meilleur outil de gestion… que personne ne voit

Mais d’abord, c’est quoi une catégorisation ?

Une catégorisation, c’est la structure personnalisée qui vous permet de classer l’ensemble de vos flux (ventes, achats, abonnements, dépenses...) selon vos propres critères de gestion.

Elle peut reposer sur des standards :

  • coûts fixes / coûts variables
  • business units
  • départements / pays / services
…ou être totalement adaptée à votre manière de piloter le business.

Chaque entreprise a son propre regard sur son activité. La catégorisation est là pour l’exprimer — et le traduire en chiffres.
Sans catégorisation, votre gestion reste floue

Trop de boîtes en croissance gèrent leur activité avec une vision incomplète :

  • Une ligne "Marketing" fourre-tout
  • Des dépenses réparties un peu au hasard
  • Aucun moyen de voir ce qui rapporte vraiment — ou ce qui coûte trop cher
Résultat : des décisions basées sur des intuitions… ou pire : sur rien du tout.
Avec une bonne catégorisation, tout change
“Les clients ne voient pas la catégorisation. Mais ils en ressentent les effets tous les jours.”

Chez we adviz, on met en place ou on ajuste la catégorisation dans toutes nos missions — notamment chez les entreprises en phase de forte croissance.
Pourquoi ? Parce qu’elle permet :

  • Une lecture claire des flux
  • Une comparabilité homogène entre outils (compta, banque, trésorerie, reporting, budget…)
  • La détection d’incohérences ou d’oublis (abonnement jamais résilié, dépense mal affectée…)
  • Un meilleur pilotage de la rentabilité, au bon niveau
Et surtout : elle devient le langage commun entre la direction, les équipes, et nous. A titre d’exemple, nous vous partageons le modèle de suivi financier suivant, démontrant combien une catégorisation analytique peut être utile pour appuyer des prises de décisions éclairées :
Modèle de Suivi Financier 2024 - we adviz
Modèle de Suivi Financier 2024 - we adviz
Notre méthode : simple, claire, adaptée

On commence toujours par des entretiens avec les dirigeants et les managers.
On veut comprendre ce qu’ils veulent vraiment suivre.
Ensuite, on entre dans une phase de réflexion pour calibrer le bon niveau de granularité : ni trop flou, ni trop détaillé.

Une fois la catégorisation validée :

  • On l’intègre dans tous les outils
  • On met en place des règles de catégorisation automatisée, via des outils tels que Odoo ou Fygr
  • Et parfois, on reprend même les données historiques pour mieux lire le passé

Notre conseil ?

Commencez simple. La catégorisation est évolutive. Elle grandira avec vous.
Une catégorisation bien construite devient un réflexe

Au fil du temps, la catégorisation s’intègre dans tous les échanges :

  • On parle de “la marge BU France”
  • On suit “les coûts CRM de la team sales”
  • On aligne les objectifs opérationnels sur les catégories clés
Et parce que tout le monde parle le même langage, les décisions sont mieux comprises — et mieux suivies.
Ce que ça change, concrètement, pour nos clients

  • Précision : on sait enfin ce qui coûte combien, et ce que ça rapporte.
  • Fiabilité : on peut croiser les infos, traquer les écarts, corriger.
  • Surprises : des anomalies qu’on ne voyait pas ressortent d’un coup.
  • Outil de négo : avec des chiffres clairs, on va renégocier des contrats.
  • Pilotage affiné : on suit les bonnes tendances, on réagit plus vite.
Et pour nous, chez we adviz ?

La catégorisation change aussi notre relation avec le client :

  • Elle nous donne envie d’aller plus loin, de creuser plus finement.
  • Mais on garde notre recul : trop de détail tue le pilotage si l’entreprise n’est pas structurée pour le suivre.
  • On joue notre rôle de sparring partner : on structure, on conseille, on exécute.
Conclusion : une catégorisation n’est pas un luxe. C’est un socle.

C’est souvent discret, peu visible.

Mais c’est la structure invisible qui transforme votre gestion.

Et quand elle est bien pensée — avec les bonnes personnes, au bon moment, dans le bon outil — elle devient un levier puissant pour mieux piloter, mieux décider, et mieux grandir. Alors n’attendez pas plus longtemps pour l’intégrer à votre gestion financière !

Text author: William A. - Associé / Service communication we adviz
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